
ça y est, je suis rentrée ce matin, un peu le blues de quitter ce pays magnifique, et les personnes du groupe avec qui j'ai partagé des moments super sympas.
Merci aussi à eux, pour leur solidarité, jamais je ne me suis sentie "exclue" même si parfois, c'était le deal, je ne pouvait pas tout faire non plus !!!
Je vais donc profiter de ces prochains jours, pour remonter le temps, et profiter avec vous de mes expériences, des photos (bien entendu) et de mon ressenti par rapport à voyager... tout de même avec ses difficultés. Première étape, la valise a disparu dans les tréfonds du terminal 1 à Roissy, et j'ai demandé à l'hôtesse au sol, d'attacher l'étiquette bagage comme ci-dessus.
Pourquoi pas sur la roue ?
L'etiquette est longue, elle se coince sous la roue, et...se déchire. Elle gène aussi lorsque l'on veux pousser le fauteuil avec ses bras...
Pourquoi ai-je demandé à garder mon fauteuil jusqu'à la porte de l'avion ?
J'ai lu quelque part que c'était possible, et beaucoup plus confortable avec un fauteuil à soi, qu'un prété par l'aéroport, et parfois pas en trés bon état.Première expérience au printemps 2008, en allant à Madrid, du même aéroport, pas de carton, pas de papier bulle pour emballer et protéger la "bête"...dans quel état vais-je le retrouver à l'arrivée ?
J'avais vu arriver au moment de mon installation prioritaire dans l'avion, le monsieur avec dans une main, les deux roues, et de l'autre l'assise...Les roues avaient voyagé dans le coffre au dessus de nos têtes, et l'assise à l'avant avec les hôtesses.
Au retour, un énorme carton avait protégé mon fauteuil de la casse à Barajas, malheureusement nous avions été les derniers passagers à quitter l'aérogare...il fallait qu'une personne nous l'amène ...nous avions attendu environ 45 minutes.
elle est rigolote cette photo!! j'aime bien!
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